Chez Franpoli

Chez Franpoli

être un oiseau

 

 



 


 

ÊTRE UN OISEAU




Dis  l'oiseau prête moi tes ailes 

Même si j'en devient plus frêle
 J'aimerai voir de tout là-haut
 Dis l'oiseau  donne moi ta peau 

Je prendrai ton plus beau plumage
Atteindrai les plus gros nuages
J'aimerai si tu le permets
Être toi et tout oublier
Les soucis la guerre l'ennui
Tout ce qui salit aujourd'hui



Je prendrai aussi ton sifflet
Pour passer mon temps à chanter
Enterrer ce qui me tracasse
Ne plus lutter pour faire face
Survoler toute la misère
Qui sur terre est une galère




J'aimerai être dans les cieux
Contempler  ce qu'il y a de mieux
Les trésors beautés et merveilles
La nature lorsqu'elle s'éveille
La blancheur de tous les sommets
La rivière serpentant les prés



J'aimerai admirer la flore
Et la voir en multicolore
J'aimerai distinguer les bêtes
Celles qui nous cachent leurs têtes
Comme toi j'aimerai voguer
Parcourir toutes les contrées



Si ta vie a quelques ombrages
Le danger d'être mis en cage
Des prédateurs être pourchassé
J'aimerai quand même essayer
De partir d'un battement d'ailes
Pouvoir dire que la terre est belle



On pourrait peut être échanger
Mais mes jambes sot un peu usées
Tu ne gagnerais pas au change
Ceux d'en bas ne sont pas des anges
Et ne font jamais de cadeaux
Aux cervelles de petits moineau



Dis l'oiseau prend soin de tes ailes
 Tu ne saurais te passer d'elles
Sautiller voler et chanter

Sont bienfaits qu'il te faut garder

poéme composé par

 Betty Gaglione



 

 

 

 

 GRAND-MAMAN

 

Elle ne rêve plus, elle ne dort plus tellement
Elle dit qu'elle a fait son temps
Sur cette terre
Qu'elle peut partir maintenant
Je la vois s'en aller
Vieille Dame si fatiguée
Elle perd courage
Elle, si douce,j'aime caresser sa peau
Mais elle ne trouve plus ses mots
Ses forces lui font défaut
Je la vois s'en aller, si fatiguée
Elle ferme les yeux
Elle est tellement fatiguée
Ma pauvre grand-maman
Je sais qu'elle s'en va
Pour ne plus revenir
Ma pauvre grand-maman
Que j'aime tant
Mais il me faut me résigner
La laisser-aller
Elle a droit au repos éternel
Elle a travaillé toute sa vie
Sans relâche, forme ou pas.
Grand-maman, je t'aime
De là-haut quand tu seras près des anges
Chante et guide-nous tous
Nous te gardons une place
Très précieuse dans nos coeurs
Va grand-maman, nous t'aimons

 

 

 

 

 

Toi mon enfant


Il y a quelques années
Je t'ai donné la vie
Et le temps passe si vite
Tu as grandi
Tu n'es plus une petite fille
Aujourd'hui,je suis fière de toi
Ce jour est très loin
Quand tu étais si petite
Tellement loin
Mais je me souviens très bien
Cette journée- là!

 

 

 

 

 

Le soleil brillait


Dans mon coeur,enfin j'étais une mère
Il n'y avait que de l'amour
Je t'ai appelé Mélanie
Et cela c'est pour la vie

 

 

 

 

 

 

 


 PERSONNE NE TE REMPLACERA


Personne ne te remplacera
Dans mon coeur toujours tu es et tu y resteras
Je ne passe aucune journée
Sans que tu sois dans mes pensées
Jour après jour, je t'aime de plus en plus
Et cela, pour toujours mon amour
Je n'aime que toi
J'ai besoin de toi
Personne ne peut m'apporter
Ce que tu as su me donner
Plus que tu ne crois
Mon amour n'est désormais que pour toi
Ta petite femme qui n'aime que toi.

 

 

 

 

 

 


 
"La vie est courte il faut en profiter un maxi,

rire, chanter , s'amuser, manger, boire, voyager.


Tout le monde se fait vieux même nos héros de jeunesse.

Il ne faut pas y penser et vivre le moment présent..."

 

 

 

 

 

 

L'obscurité ne peut pas chasser l'obscurité ;
seule la lumière le peut.
La haine ne peut pas chasser la haine ;
seul l'amour le peut.
La haine trouble la vie ;
l'amour la rend harmonieuse.
La haine obscurcit la vie ;
 l'amour la rend lumineuse.
Martin Luther King

 

 

 

 

 



22/10/2009
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