Chez Franpoli

Chez Franpoli

plus je te veux, Le chemin du bonheur

 

 

Plus je te veux, plus je te perds...

Il était une fois une jeune femme. Elle se trouvait près de sa mère la veille de son mariage et regardait le soleil qui, au-delà de la plage, se couchait dans l'immensité de la mer.

Elle s'adressa à sa mère et l'interrogea : « Maman, papa t'aime beaucoup et t'est toujours resté fidèle. Que dois-je faire pour que mon mari continue à m'aimer de plus en plus ? »

La mère se tut et réfléchit un instant, puis elle s'agenouilla et remplit de sable chacune de ses mains. Elle s'avança ainsi vers sa fille.


Sans dire un seul mot, elle serra les doigts d'une main de plus en plus forte sur le sable qu'elle contenait. Le sable s'en échappa. Plus elle serrait son poing, plus le sable s'en écoulait, et quand elle ouvrit finalement sa main, seuls quelques grains de sable mouillés collaient encore à sa paume.

Mais la mère avait gardé son autre main ouverte comme une petite écuelle. Les grains de sable y restaient

 

 

Le chemin du bonheur

J'aide les gens à trouver le bonheur, disait un vieil homme. Il est à la portée de tous, pourvu qu'on en ait vraiment envie.

Du plafond où elles étaient accrochées, tombaient une grosse chaîne et une corde épaisse.


« Considérez cette corde et cette chaîne, peut-être bien qu'elles ont quelque chose à vous raconter. »


Ils regardèrent attentivement cette scène et constatèrent que rien ne se produisait. Ils regardèrent de plus près. Chaque maillon de la chaîne, chaque brin torsadé de la corde, représentaient pourtant une notion très importante…


Leur hôte leur expliqua : « La plupart des gens commettent une redoutable erreur. Dans leur esprit, ils confectionnent une sorte de chaîne avec tout ce qu'ils estiment important pour leur bonheur et quand un des maillons vient à se rompre, ce qui n'est pas rare, toute leur chaîne se démantibule et leur bonheur est par terre!


Tous les autres maillons de la chaîne ont beau être intacts, ils n'ont plus aucune valeur. C'est pourquoi une telle personne, victime d'un banal incident, comme celui d'égarer une clef, a l'impression que le monde entier est en train de s'écrouler.


— Que faut il faire alors?


— Il faut apprendre à tresser les cordes du bonheur, de telle sorte que si un brin vient à casser et que la solidité de la corde s'en trouve diminuée, rien ne lâche, ni ne s'écroule. Et c'est bien plus facile à réparer. »

 

 

 

http://www.lapetitedouceur.org/article-32744317.html

 

 



17/02/2010
0 Poster un commentaire

A découvrir aussi


Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 43 autres membres