Perles d'Amour
Perles d’amour...
C’est en regardant mon collier de perles ce matin
Que j’ai réalisé que c’était comme la vie d’une maman.
Comme celle que j’ai vécu et
Chacune des perles à une signification pour moi...
L’amour et la douceur que j’ai donné à mes enfants tous petits
Me reviennent sous toutes les formes,
Je n’ai qu’à regarder avec mes yeux de mère
Et j’en suis fière.
Autant de câlins et de sourires j’ai reçu en semant la joie
Aujourd’hui c’est le retour et je suis comblée
J’en reçois à plein, des câlins, des sourires
Et de la tendresse remplie d’amour.
Les joies et les petits bonheur qu’ils m’ont fait vivre
Ce sont de bons souvenirs
Maintenant, ils me partagent les leurs
Ce qui me rend doublement heureuse.
J’ai toujours pris le temps de les écouter avec patience
Alors ils ont appris que c’est important
Aujourd’hui, ils prennent le temps d’écouter
C’est une si belle qualité.
Dans la vie, il y a des malheurs, des nuages, et c’est normal
J’étais et je suis toujours proche d’eux
Mes enfants ne baissent pas les bras
Devant un malheur, il y en aura toujours à surmonter.
Ils savent qu’il y aura un arc-en ciel par la suite.
Et sont toujours là avec des mots d’encouragement face à moi.
Un jour, un de mes fils a ajouté
Une petite perle d’amour à mon collier
Elle scintille à travers les autres perles
C’est ma jolie petite fille que j’adore.
Ces perles d’amour …
Sont ma richesse
Il y reste de la place pour en ajouter
Il y en aura toujours.
Ce joyau précieux
Est ma vie de maman
Et a une valeur sentimentale
C’est extraordinaire à mes yeux
C’est un plaisir de l’accrocher à mon cou
Il est magnifique!!!!!
Texte composé par Christine G. Canada
Jour d'orage
Les solutions d'un jour d'orage
faire des nuages.
Et d'un visage plein de présage
faire une plage
où l'on peut admirer le paysage.
D’un château au milieu de l'eau
faire un ruisseau
où l'on voyage sur le manteau de l'eau.
Faire d'un manteau qui tient chaud un jardin
contre la faim.
Moi, je n'aurais pas froid
car je sais que toi,
tu manges à ta faim
sous un sapin près du chemin
qui mène vers le lointain.
Un sourire,
Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup,
Il enrichit celui qui le reçoit sans appauvrir celui qui le donne,
Il ne dure qu'un instant, mais son souvenir est parfois éternel,
Personne n'est assez riche pour s'en passer,
Personne n'est assez pauvre pour ne pas le mériter,
Il crée le bonheur au foyer, soutient les affaires,
Il est le signe sensible de l'amitié,
Un sourire donne du repos à l'être fatigué,
Donne du courage au plus découragé
Il ne peut ni s'acheter, ni se prêter, ni se voler,
Car c'est une chose qui n'a de valeur qu'à partir du moment où il se donne.
Et si toutefois, vous rencontrez quelqu'un qui ne sait plus sourire,
Soyez généreux donnez-lui le vôtre,
Car nul n'a autant besoin d'un sourire que celui qui ne peut en donner aux autres.
Raoul Follereau.
Quand une femme vous traite de castor....
C’est une journaliste qui va chez un homme célèbre. Elle lui demande :
- Est-ce que je peux voir votre cuisine?
- Oui, c’est ici!
- Vous avez une jolie vaisselle!
- C’est mon ex-femme qui me l’a donnée.
- Est-ce que je peux voir votre salon?
- Avec plaisir! Suivez moi.
- Votre divan est magnifique!
- C’est mon ex-ex-femme qui me l’a donné.
- Est-ce que je peux voir votre salle de bain?
- Oui, c’est en haut.
- Vos serviettes sont d’une très belle couleur!
- C’est mon ex-ex-ex-femme qui mes a données.
- Est-ce que je peux voir votre chambre?
- Oui, c’est à côté.
- Votre lit est très confortable!
- C’est mon ex-ex-ex-ex-femme qui me l’a donné.
- Maudit Castor ! Dit la journaliste puis s’en va.
Intrigué, l'homme appelle un ami pour lui demander ce que cela veut dire lorsqu’une femme traite un homme de castor. L’ami lui conseille d’aller vérifier dans le dictionnaire.
Il cherche et trouve. Castor: animal qui bâtit sa maison avec sa queue.
Le trésor caché
Il était une fois un vieil homme assis sur un vieux coffre au coin d'une vieille rue. Cet homme, d'aspect miséreux, demandait l'aumône. Quelques passants jetaient une piécette distraitement avant de s'éloigner.
L'un d'entre eux, sensible à sa misère, lui donna une plus grosse pièce. Il regarda également le vieux coffre sur lequel le mendiant était assis. Il lui demanda d'où venait ce coffre vermoulu par le temps?
Le vieil homme lui répondit qu'il n'en savait rien, qu'il s'en servait juste pour s'asseoir dessus.
— Voulez-vous vous lever que l'on regarde ce qu'il contient?
Le vieillard se fit un peu prier, réticent, puis se leva afin de ne pas mécontenter son bienfaiteur. Les serrures rouillées ne résistèrent pas. En soulevant le couvercle, ils découvrirent un trésor. Le pauvre vieil homme mendiait chaque jour assis sur un trésor!
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 43 autres membres