Chez Franpoli

La Lumière au bout du tunnel P.8

Àprès avoir cheminée près des gens du hockey je me suis fais des nouveaux amis, j'ai décidée de mImpliquer dans le bénévolat à l'Association des personnes handicapées, j'ai été secrétaire sur le CA ensuite une autre année j'étais présidente tout ça m'a donné de la confiance en moi.

J'ai fais durant 5 ans de l'écoute téléphonique pour l'organisme Toxcico Alerte notre clientèle était des personnes dépressives suicidaires j'ai eues des formations et j'ai bien aimer l'expérience

En 1999 je vends mon auto car je trouves que c'est trop de trouble je le prenais presque pas c'était mon fils qui le prenait le plus souvent mais c'est moi qui payais pour l'entretien alors l'Association des personnes handicapées m'on fait un prêt à vie d'un fauteuil motorisé, j'adore ça je peux aller faire mes commissions car je suis tout près du centre d'achat et de IGA et c'est bien moins de trouble qu'un auto.

J'ai eue de la misere avec le plus vieux à l'adolescence vu que je suis toujours souffrante même si ils jouaient ensemble moi c'était un gros fardeau mais pour eux autres ils ne pouvaient pas comprendre je leur disais arrêtez j'en peu plus de vous entendre j'ai du mal, ils me répondaient on le sait tu as toujours mal, laissez moi vous dire que des fois je m'enfermais dans ma chambre pur pas les entendre se tirailler

Un jour j'ai décidée d'envoyer Éric vivre chez son père comme ça avecjustele plus jeune qui avait 10 ans j'avais pas de troubles avec encore, ce que je trouvais le plus difficile c'était de faire les trois repas par jour ça me demandait beaucoup d'énergie à cause de mes douleurs qui des fois étaient insupportables .

Un jour Éric me demande mon auto pour l après midi je lui prête en lui disant il faut que tu sois revenu à 4.hrs car j'en ai de besoin, ok c'était bien correct, il était rendu 5.hrs et il était pas encore de retour plus je suis nerveuse plus mes douleurs amplifient donc 6.hrs pas encore d 'auto.

Je perds le contrôle de mes moyens en me disant je vais disparaître de cette terre comme ça j'en aurai plus de trouble avec lui. Je commence à écrire mes lettres d'adieu car là je voulais en finir et mon plan était tout planifié je ne pouvais plus vivre avec autant de douleurs donc comme il n'y a pas de hasard à 7.hrs mon frère me téléphone pour prendre de mes nouvelles il est bien mal tombé.

Je lui raconte en gros la situation et je lui dis que demain je serais plus là au fond de moi même je ne voulais pas mourir mais arrêter de souffrir c'est tout, il me dit tu fais rien là je trouve Éric et j'arrive mais ce qu'il a fait il a téléphoné à Toxico Alerte et c'était un couple d amis qui avait la ligne d'écoute pour la soirée et la nuit car c'était un samedi soir ah une demie heure après je vois arriver mon ami qui faisait de l'écoute il avait laissé sa femme et était venu à mon secours.

Quand je l'ai vu arrivé j'ai bien pensé que c'était mon frère qui leur avait téléphoner il s'est dit eux autres sont plus compétent que moi dans ce domaine là il me savait en sécurité, mais je voulais rien comprendre il me disait tu sais bien que je te laisserai pas toute seule dans ton état après avoir jasé au moins 2 hrs pour calmer ma crise suicidaire on a fait un contrat de non-suicide pour 24 hres.

Je le savais très bien car j'en avais déjà fais avec des gens comme moi donc en premier il voulait m'amener à l'hôpital mais c'était non ensuite il me dit je vais coucher ici je peux pas te laisser tu le sais bien je réponds tu peux bien coucher ici moi mon plan c'est dans ma chambre que je vais le faire, et tu n as pas d'affaire à venir là, finalement la crise apaisée et le contrat signé il est retourné à la ligne d'écoute.

Mon frère avait trouvé mon fils et rapporter l'auto ici mais à tous les 2 hrs fallait que je leur téléphone afin qu'il sache mon état, ça durer la journée du dimanche aussi mais moins souvent car là j'allais mieux sauf que le lundi matin ma soeur qui était infirmière avait été avisée de ma situation de crise du samedi et mon entrée était fait à l'hôpital psychiatrique pour un séjour afin d'être vue par des spécialistes en ce domaine.

J'ai passée deux semaines en consultation avec un travailleur social et il m'a beaucoup aider comment agir avec mon fils, alors lorsque je suis sortie de l'hôpital je ne lui prêtais plus l'auto c'était fini et au lieu de m'obstiner avec je gardais le silence donc il arrêtait car c'est pas plaisant parler tout seul en chialant.

Il est retourné vivre chez son père pour un autre bout de temps

à suivre.........

Popo